mardi 4 juin 2013

The country where I quite want to be !


C'est un petit pays, il est assez méconnu, il y fait nuit tout l'hiver et jour tout l'été et pourtant, pourtant, on s'y sent tellement bien. 

L'un des nombreux lacs d'Oulu au sunset

J'ai peut-être pris un risque en partant vivre dix mois en Finlande, c'est vrai. Ce que l'on m'en avait dit était plutôt concis et partagé : " N'ayez pas peur, tous parlent anglais couramment,  les gens sont adorables, mais d'une timidité maladive, la vie est chère et vous allez vous les cailler comme jamais."
Certes.
Partir en Erasmus, c'est savoir qu'à moins d'être associable au possible, et dans ce genre là, je ne suis déjà pas trop mal, donc rien à craindre, vous ne serez jamais vraiment seuls. Vous aurez froid mais vous aurez froid ensemble. Votre famille vous manquera, mais elle manquera aussi aux autres. Vous serez des dizaines à sortir des logements étudiants les soirs de -25° pour aller observer les aurores boréales sur le lac, et les mêmes à sortir les soirs d'été pour le coucher de soleil de minuit, affrontant bravement les moustiques enragés. C'était bien.

Oulu, au nord de la Finlande, l'été.

One of the first time I went to Nallikari, one of Oulu's beaches.
Cloudy sky. 

Hailuoto, an island belonging to Oulu
Poets and writers usually use cottages there to feel far from all civilization, without water or electricity.

 A typical red house from Northern Finland.
Hailuoto

Picture taken from a bridge I crossed everyday for the past ten months.


Every year in August, Oulu welcomes the best Air Guitar players of the planet. 

The Air Guitar Festival Finale.


The harbour facing the market place

This is a restaurant I passed everytime I went downtown,.

In the city center, from a bus stop.


The Toripoliisi, created in 1987 and very famous in Oulu. 

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